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INFERNAL: HELL'S VENGEANCE (Playlogic)

Publié le par Crapulax

Infernal.jpg

S'il n'existe pas de jeu vidéo parfait, il y a simplement des jeux beaucoup moins buggés que d'autres et pour chaque joueur une capacité plus ou moins grande de s'y accomoder. Pour ma part, cette capacité est souvent réduite au strict minimum et s'arrête quand mon chausson prend la direction du téléviseur... Avec INFERNAL: HELL'S VENGEANCE, autant dire que plusieurs paires ont été nécessaires afin de le terminer... Explications:

1.Une histoire navrante: Arnie Lennox est un ange déçu d'être déchu qui se trouve dans la dèche juste après avoir chu. Du coup, il se dépêche d'aller au diable lui faire de la lèche.

2.Un doublage catastrophique: la version en français a été faite par le club des retraités de Bouze-les-bains, des comédiens amateurs sans talent à 2 de tension.

3.Les bugs inadmissibles: même à l'intérieur d'un bâtiment, on parvient sans peine à se faire toucher par des ennemis situés à l'extérieur (qui disposent de débardeurs en kevlar renforcé).

4.Des graphismes médiocres: plus moche, tu meurs.

5.Des pouvoirs minables: ils se déclenchent tout seul (esquives) et ne servent qu'à ouvrir des portes ou à casser des objets.

6.Aucune sauvegarde automatique: recommencer tout à zéro, c'est pas beau.

 

Le verdict est sans appel: quand on finit INFERNAL, ça fait le même effet de soulagement que de sortir des toilettes après la grosse commission.

 

Ci-dessous: pas la peine de tenter de se la jouer infiltration, les ennemis repèrent le moindre doigt de pied qui dépasse...

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